Référencement : pour un bon départ
Nous avons soulevé jusque quelques notions relatives à la réussite du référencement de vos sites web et aux réflexes à adopter pour reprendre de la hauteur sur les résultats des moteurs de recherche en cas de rafles algorithmiques. Aujourd’hui, pour un rappel d’astuces simples et tout de même imposantes auprès de Google, tout au moins, et l’occasion d’accueillir ceux parmi vos novices – l’Homme l’est à tout âge – voici l’essentiel pour démarrer un bon référencement.
L’adresse URL
Les adresses URL à fédérer sur votre interface web ont intérêt à être plutôt courte car Google est plutôt du genre fainéant et n’accorde son attention qu’aux 3 premiers mots de votre adresse et 5 au plus. C’est pour cela qu’il faut que vous adoptiez l’envie pressante de faire profiter votre mot-clé d’une positions sur ces cinq premières et la première quand c’est possible.
Le texte en long et en large
Pareil, dans tout le reste de votre texte, rappelez vous que la plage des mots qui auront du poids auprès des moteurs de recherches se situent à une limite allant de 100 à 200 mots. Injectez vos mots-clés très tôt tout en maintenant la logique requise. Mais, à quoi sert alors le reste?
Justement, selon une étude de Serpiq.com, quand un mot-clé revient avec une certaine fréquence – chaque 100 mots, sans pour autant dépasser 7 en pratique – dans un article d’une taille d’environ 1500 mots, il a préséance sur un mot-clé emmuré dans un petit billet de 200 mots. En outre, SEO Wizz.net précise qu’en y insérant des liens pointant vers de crédibles références web comme Wikipedia ou Harvard.edu, un contenu profite d’un meilleur ranking.
Vos concurrents produisent du contenu et des textes reprenant vos mots-clés, qui ne sont plus les vôtres à partir du moment où ils renvoient vers leurs interfaces. Cela implique un brassage permanent de vos textes en ajoutant notamment des connecteurs qui feront en sorte de les hisser plus haut dans la pile des articles traitant de la même thématique.
Des mots qui sentent l’actualité et la nouveauté comme «2014» ou «les dernières» ou des expressions insinuant un retour pro sur une problématique comme «guide» ou «review», seront plus convoités par les souris qu’un fromage. Attention cependant à trop de prétention dans vos titres : une petite promesse tenue vaut mieux qu’une grosse déception.
L’appui visuel et l’optimisation des performances
Le texte est sans doute le levier de référencement naturel le plus important mais, même quand un concours de circonstances a conduit un utilisateur jusque sur votre page web, il faut encore essayer de l’y retenir le maximum de temps possible, même quand il se rend compte que son petit voyage ne l’a pas mené à la bonne adresse.
Il n’achèterait peut-être pas, il ne commenterait non plus ni même oserait un autre clic si ce n’est une croix (pour quitter la page). Cependant, les quelques secondes qu’il passe sur le site sont précieuses car Google – oui encore lui – tient compte de ce laps de temps, en plus du taux de rebond, pour juger de la pertinence de votre page. Autant donc prévoir des images, des vidéos ou même un contenu interactif en vue de de garder le visiteur plus longtemps. Qui sait, entre temps, il aura peut-être nourri une soudaine caprice pour acheter.
Pour finir, tâchez de soigner la présentation graphique de votre site tout en l’optimisant, en réduisant le temps de chargement global et le temps de chargement des modules séparément. Une étude de MunchWeb a révélé que 75% des visiteurs d’un site le quittent si l’interface n’est pas chargée au bout de 4 secondes et n’y reviennent plus jamais. Optimisez de même les boutons de partage car, même si Google est encore sourd aux likes, ces butons multiplient de 7 fois le partage de votre contenu. Du soin donc sur tous les niveau et du texte, du bon!